L’ostéopathie peut-elle aider à soulager votre arthrose ?


Une dizaine de millions de français sont actuellement atteints de l’arthrose, c’est pourquoi ce sérieux sujet doit être éclairci pour tout le monde afin d’avoir une idée de toutes les solutions possibles pour soulager les maux et surtout pour suivre un bon traitement, comme l’ostéopathie.

L’arthrose, ce qu’il faut savoir

L’arthrose est, en termes plus simples, une affection articulaire des os dans l’articulation. Cette pathologie est souvent mécanique et non inflammatoire. En effet, les tissus articulaires vieillissent prématurément. Les articulations les plus touchées par ce problème sont les suivantes : les cervicales, les lombaires, les mains, les pieds, les genoux, les hanches, les chevilles.

Les signes courants de l’arthrose

L’arthrose présente généralement trois signes. Dans un premier temps, vous sentirez une douleur articulaire qui s’amplifie lors de votre effort ou après celui-ci. Parfois, cette douleur se sent lors de votre réveil, connu sous le nom de dérouillage matinal. Ce problème peut durer le plus souvent pendant dix minutes. Dans un second temps, il faut dire que l’arthrose est régulièrement soulagée par votre corps lui-même. Dans un troisième temps, les signes de l’arthrose se manifestent toujours par des poussées congestives, et à ce stade, les douleurs sont tenaces et très intenses.

Le recours à l’ostéopathie

L’ostéopathie est un traitement très indispensable pour soulager l’arthrose. En effet, à l’aide de diverses techniques manuelles, l’ostéopathe est à même de vous aider à vous sentir mieux. Son rôle est aussi de vous accompagner lors des crises pour que vous puissiez mieux supporter les douleurs jusqu’à ce que ces derniers passent. À savoir également que l’arthrose est une pathologie physiologique chronique dont même l’ostéopathe ne peut le faire disparaître. Il ne peut que venir en aide pour amoindrir la douleur que vous ressentez. D’autres solutions favorisant le soulagement de l’arthrose sont aussi à connaître et à allier à l’ostéopathie, notamment la gymnastique corrective, la kinésithérapie, la physiothérapie et la prise d’antalgique ou d’anti-inflammatoire.